Empalée

Catégories : FANTASME
il y a 10 ans

Traduit par Thor Dogtrainer

Titre original: Spiking Auteur inconnu Txt issu des groupes cc détruits par yahoo

Dans la clairière où le petit groupe d'hommes s’était rassemblé pour s’y livrer à leur pratique favorite, le bruit de leurs voix devenait de plus en plus fort. Tout en avalant à grandes gorgées de la bière ou du whisky, ils se bousculaient autour de ma femme qui sous mes yeux était en train de se faire baiser en série.

Elle était étendue à même le sol rugueux, sa peau pâle contrastant avec ses cheveux roux. Eclairée par le halo des phares de trois camions, elle était entièrement nue et cruellement ligotée, face contre terre, dans une pitoyable posture d’avilissement total. Je me rendais compte à quel point elle semblait vulnérable, si petite et si délaissée ; femelle solitaire - capturée et presque dévorée par cette horde de mâles en chaleur. Ils étaient tous là pour assister à un spectacle pour lequel ils avaient tous chèrement payés : voir une jeune femme sans défense être dépouillée de ses vêtements et être fouettée, puis assister à cette baise sadique et répétée, à de nouvelles flagellations, d’autres humiliations…

Ses pleurs et ses cris n’étaient pas restés sans effet, ils avaient bien au contraire incité ses ravisseurs à de nouveaux a b u s . Les spectateurs avaient visiblement aimé l’entendre crier et chialer. Et même moi : durant les trois années de notre mariage je n'avais jamais su – même jamais imaginé qu'elle pourrait émettre des sons aussi passionnants.

Mais à présent ils en voulaient davantage… et c'est ce qui allait arriver.

Alice Williams, jeune fille rousse et bien élevée, était devenue, grâce à ses études et à une éducation soignée, une adorable a d o l e s c e n t e, spirituelle, joyeuse et raffinée. Son corps mince s'était développé peu à peu pour devenir celui une jeune femme élégante sur laquelle les hommes se retournaient avec envie.

Durant ses études universitaires elle avait eu avec grande prudence quelques expériences amoureuses avec des partenaires soigneusement triés sur le volet : deux jeunes assistants et un chargé de cours dans la cinquantaine. Après l'université ce fut moi qui héritais, par le biais du mariage, de ce jeune corps attirant et plein de promesses.

Ce fut parce qu’elle adorait la campagne et s’y promenait souvent toute seule que j’eus tout loisir de dire aux "autres" où et quand ils pourraient la capturer tout en me ménageant un alibi sans faille. Après cela, grâce à la bande vidéo que nous allions faire de cette séance, nous pourrions tous vivre dans l’aisance et pendant longtemps.

**

"Empalez-là maintenant !… emboutissez-là jusqu'à fond !…" Cria quelqu'un derrière moi.

"Ouais !… empalez-là… donnez-lui tout !…" scandaient d'autres voix.

Dans l'éclat des lumières des camions, trois d'entre eux s'emparèrent du corps ligoté de mon épouse, ils la retournèrent et la positionnèrent pour son dernier grand rôle de vedette principale.

Le caméscope ronronnait doucement. Plusieurs des hommes avaient leurs mains sur leur verge dénudée en prévision de l'apogée qui se préparait. En bruit de fond de cette scène barbare, sur un autre mode que nos cris sauvages, on percevait les s a n g lots presque silencieux de la pauvre Alice, pleurant de souffrance, de peur et de honte.

Un homme plus âgé - oui, c'était le chargé de cours ! - s'accroupit, son phallus palpitant érigé devant lui, devant les yeux d'Alice. Tendant la main il la saisit par les cheveux, soulevant brusquement sa tête jusqu'à ce que ses yeux bleus le fixent. Avec une grimace il lui montra l'épieu métallique rond et lisse qu'il tenait en main. Long de six pieds au moins, il brillait dans la lumière. Epaisse d’un pouce la perche se terminait par une inquiétante pointe aiguë. Les yeux embués par la souffrance d’Alice s'agrandirent d'horreur à la vue de cet instrument extrême dont elle devinait vaguement l’usage. Elle secoua vivement la tête en bafouillant:

"Non !… non !…"

Réalisant ce que ses hommes avaient l'intention de lui faire, Alice se mit gémir de terreur malgré son bâillon. Rassemblant l'énergie du désespoir, se contorsionnant et gigotant désespérément entre les mains de ses ravisseurs, elle essaya bien en vain de leur échapper. Son épiderme écorché et sali était constellé de gouttelettes de sueur, qui scintillaient dans la lueur des phares. Visiblement Alice venait de comprendre que ses ravisseurs n’étaient pas simplement des sadiques, mais qu'ils se préparaient maintenant à être ses b o u r r e a u x.

Le début du spectacle avait été incroyablement brutal et le corps d'Alice en portait les stigmates : des striures et des écorchures innombrables. Ses cheveux étaient englués de sperme et son visage portait les marques de nombreux coups. Ses larmes coulaient sur ses joues en abondance.

Fasciné et excité j'avais regardé ces tous ces hommes baiser tour à tour sa chatte, sa croupe et sa bouche. Les marques cramoisies sur ses cuisses et ses fesses montraient clairement par où elle avait été a b u s é e. Leur sperme maculait encore son visage, ses cuisses et ses fesses.

J’avais pris un immense plaisir au spectacle de sa lente déchéance tandis qu'ils l'avaient systématiquement humiliée, maltraitée et battue. J'avais regardé et écouté les sons merveilleux qu'elle émettait tandis qu'ils l'étranglaient à moitié jusqu'à la limite de l'inconscience, et après lorsqu’ils avaient durement frappé son ventre et ses parties génitales avec d’épaisses cannes de jonc. Sur son ventre et ses cuisses des stries bleutées et de contusions à vifs s’entrecroisaient. Ses coudes avaient été liés ensemble dans son dos avec un fil de piano, lui tirant douloureusement les épaules en arrière, accentuant ainsi la proéminence de ses seins. Ils avaient passé un long moment à massacrer sa belle poitrine, perçant ses mamelons un à un. A présent, tandis qu'elle gigotait et se débattait en vain, ses seins blessés se frottaient et s’écorchaient douloureusement contre le sol. Herbe et terre souillaient sa peau.

Des mains puissantes la maintenaient, ne lui laissaient aucune échappatoire. Ses longues jambes avaient été pliées sous elle et ses chevilles étroitement liées au haut de ses cuisses. La corde faisait plusieurs boucles autour de ses chevilles avant de mordre profondément dans la tendre chair de ses cuisses galbées. Je savourais le spectacle extrêmement attirant de ses pieds retournés et de ses petits orteils tout crispés. D'une certaine façon - peut-être parce qu’ils étaient rose et nus - ils dégageaient pour moi un attrait sexuel qui leurs était propre.

Les hommes écartaient à présent largement les genoux d'Alice. Son souffle s'était mué en halètements courts et rapides, comme si elle avait été plongée brutalement dans de l’eau glacée. Pauvre Alice ! Tout son jeune corps était tétanisé.

Un des hommes plongea ses mains dans la fissure de ses fesses blanches, les écartant, ses doigts tirant sur les lèvres vaginales pour ouvrir par derrière sa vulve rose.

"Bon Dieu !… Regardez-moi ce trou ?..." Dit-il levant la tête.

"Elle a une belle petite chatte hein l’ami…" dit-il en se tournant vers moi.

J'opinai de la tête, tout en jouant avec mon organe tout raide.

"Oué… faites la souffrir pour moi !…" lui dis-je. "Faites-là hurler pour de bon !…"

Levant la tête en grimaçant, l’homme accroupit vit le rythme de ma masturbation s’accélérer. Il me fit un sourire complice en comprenant comme j'aimais de voir d'autres hommes s'occuper d’Alice.

"D'accord !… que dirais-tu de ceci ?..." grogna-t-il et il tira ses lèvres intimes, les étirant chacune dans une direction opposée, les tordant dans une forme d'entonnoir, chacune comme une aile cramoisie de peau mince.

Alice fit alors un tel sursaut qu'un instant je cru qu'elle parviendrait à se libérer. Elle hurla dans son bâillon et secoua ses bras attachés tandis que la douleur se vrillait en elle.

"Aaarmmmmmmmmmm !…"

Mais une autre paire de mains vint durement peser sur ses épaules pour coller son torse dans la terre souillée. Elle n'avait plus aucun moyen d’échapper aux réjouissances qu'ils préparaient pour elle. L'homme plus âgé s’approcha d’Alice par derrière. Devant cet homme armé de l'épieu qui s'agenouillait sa chatte, dont les lèvres étaient tenues écartées contre ses fesses par d'autres mains étrangères, formait une ouverture rose et brillante. Soigneusement, il guida la longue perche pointue dans la fourche des cuisses tremblantes d’Alice, jusqu'au moment où le bout aiguisé glissa entre les petites lèvres bâillantes.

Elle dut la sentir car ses fesses pâles et écartelées se tortillaient entre les poignes des hommes qui la maintenaient ; ses muscles se contractaient dans un effort surhumain pour essayer de se débarrasser de ce monstre de métal froid qui fouillait la partie la plus intime de son corps. Pauvre petite Alice toute effrayée ! Ses gémissements larmoyants montèrent soudain de plusieurs octaves. Sa gorge était si contractée par la panique que ce fut par son nez qu’un cri de terreur sans nom lui échappa. Ses bras liés dans le dos s'animaient vainement de mouvements spasmodiques.

Une main la saisit par les cheveux et durement tira d'un coup sec sa tête vers le haut et en arrière. Les yeux bleus terrifiés d'Alice roulèrent sauvagement dans leurs orbites avant que son regard ne s’accroche finalement à moi, qui se tenait non loin d’elle la verge toute raide dans la main.

"Aide-moi ?..." m’implora-t-elle.

Mais mes yeux ne voyaient que comment elle s'arquait magnifiquement, soulevant du sol ses seins aux tétons percés. Bon Dieu !… ses mamelons meurtris étaient gonflés, presque comme les tomates trop mûres... Je les avais eus dans ma bouche et entre mes doigts. Je les avais même, par le passé, à plusieurs reprises pincées jusqu'à la faire grincer des dents de protestation. Mais jamais auparavant je n'avais vu ses mamelons maltraités à tel point. J'eu envie de les palper pour découvrir leur nouvelle taille, pour les écraser encore entre mes doigts.

Ils étaient sur le point de l'empaler pour de bon à présent. Avec le bout aigu niché dans le conduit vaginal, l’homme âgé plaça la perche à l'horizontale au niveau du sol, puis il poussa, glissant les premiers pouces d'acier dans la chatte d'Alice. Je pouvoir voir, non sans quelque étonnement, comment ce pal pourtant épais écartait sans effort les chairs de sa vulve.

Je finis par comprendre que la tige avait été graissée ; voilà pourquoi elle glissait dedans avec une telle facilité.

Les autres s’étaient regroupés tout autour d’Alice en cercle serré. Leurs jets de sperme lui éclaboussaient le dos, tandis qu’un des hommes faisait d'une grosse corde un nœud coulant autour de son cou. Le groupe d'hommes surexcités semblait avoir flairé le s a n g . Je regardais le corps nu de mon épouse, brillant de sueur et couvert de sperme, et me rendais parfaitement compte que plus rien ne pourrait la sauver à présent.

Un tout jeune homme - il devait avoir été la moitié de mon âge – se mit à genoux devant Alice, les cuisses écartées, la verge tendue. Il fit glisser son bâillon vers le haut au-dessus de son nez et guida sans attendre son phallus érigé vers ses lèvres tuméfiées. Espérant peut-être que cela pourrait encore la sauver, Alice ouvrit la bouche et laissa la bite l'envahir.

Ils étaient à présent à deux à s'être saisit de l'épieu planté dans sa chatte. Je regardais intensément pendant qu'ils poussaient ensemble f o r ç a nt le métal plus loin en elle. Deux, quatre, six, huit, DIX pouces de la tige graissée disparaissaient dans le vagin étiré et rouge d'Alice. Il devait y avoir chair contre acier à présent. Puis, dans une soudaine réaction explosive, la bouche d'Alice s'ouvrit toute grande et ses yeux s'élargirent. Les hommes qui la tenaient pesaient sur elle de tout leur poids, la collant au sol tandis que son horrible supplice commençait pour de bon, car l'épieu de métal, ayant atteint le fond de sa vulve, perçait le col de l'utérus et poursuivait plus avant dans sa cavité abdominale.

Alice suait abondamment comme si toute l'humidité de son corps s’échappait d’elle d'un seul coup. Les muscles fessiers étaient crispés à devenir dur comme le fer. Ses cuisses étaient secouées de spasmes incontrôlables, la faisant sursauter.

Ses bras liés se secouaient de façon incontrôlée, ses doigts griffant le vide, et les muscles de son cou se nouaient alors qu'elle poussait son premier cri d'agonie interminable. Le jeune avec sa verge dans sa bouche en profita pour se pousser jusqu'au fond de sa gorge, sans toutefois parvenir à interrompre son hurlement.

"Aaaaargrgrgrggrgrgrgr !… gnnnnaaargrgrgrggr !..."

Pour une femme aussi frêle ses cris étaient incroyablement forts, rauques comme ceux d’un animal, presque choquants.

"Aaaasarrrghghghgeeeeeeeeeahhh !..."

Durant toute la durée de son interminable épreuve, tout au long de ses baises en série, de la flagellation et des coups qu'elle avait subis, Alice était restée terriblement féminine, rudement éprouvée certes, mais toujours aussi femme. Mais à présent que la pique progressait de façon invisible vers le haut de son corps, ses yeux étaient devenus vagues, elle n'était plus qu’un animal femelle habitée de souffrance et d'agonie, indifférente au groupe de mâles amassés autour d'elle, avide du spectacle de la pénétration fatale par l'acier qu'elle subissait.

Peu à peu ils se mirent à plusieurs à serrer le noeud autour de sa gorge, lui coupant le souffle. Nous pouvions tous voir son visage rougir et sa bouche s'ouvrir en grand dans un ultime effort pour aspirer l'air.

A genoux derrière elle trois hommes f o r ç a ient à présent sur le pal pour le faire progresser en elle. J'estimais qu'il devait y avoir à présent au moins trois pieds d'acier en elle.

Sa lutte diminuait à vue d’œil. Alice se mourrait. A trois ils poussaient avec un ensemble parfait, f o r ç a nt le pal en elle par paliers de dix pouces à la fois. Mais en même temps ils faisaient attention à éviter autant que possible ses organes vitaux. Ils en avaient l'expérience. Ils savaient comment faire pour leur victime ne meurt pas trop vite. Au dernier moment, la corde autour de son cou fut relâchée. L’état de choc provoqué par l'embrochement progressif semblait avoir diminué la perception de la douleur d'Alice, mais elle était encore assez vivante pour vouloir respirer.

Ses t o r t i o n n a i r e s tirèrent alors sur son cou pour le tenir bien droit et immobile et avec un cri et une seule poussée ils plantèrent le pal totalement en elle, le faisant ressortir par sa bouche grande ouverte. De flots de s a n g se mirent à jaillir de ses lèvres par petits jets. Son entrejambe était lui aussi tout ens a n g lanté. C’était terminé pour Alice. J'avais vendu ma femme à cette horde de brutes qui sous mes yeux l’avaient proprement embrochée sur une perche métallique.

Alors qu’elle était encore consciente, ils la soulevèrent et la placèrent sur deux broches au-dessus des braises qu’ils avaient préparés non loin de la. D'abord ils la placèrent face au sol de façon à ce que les flammes puissent lécher et rôtir ses seins et son ventre. J’eus la certitude qu’elle était toujours consciente de ce qui lui arrivait à cause des petits râles étranges qui lui échappaient encore.

Quelqu'un pulvérisa alors de la graisse sur sa chatte et Alice gargouilla davantage lorsque la graisse grésilla, puis s'enflamma d'un coup emportant ses poils pubiens et la laissant dénudée comme un nouveau né.

Mais finalement, à mon grand regret, elle tricha et ne réagit plus du tout.

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